Comme il est ironique et douloureux de penser qu’un virus, très certainement né de nos mauvais penchants, de notre mépris sans bornes pour toutes les autres créatures vivantes, de nos saccages répétés de la Nature, est la cause du décès d’un écrivain si sensible au sort des animaux et de la nature.
Adieu M. Sepulveda…
C’est une grande perte. J’ai été très touchée par cette nouvelle. J’étais toujours sensible à ces récits, sensible aussi à ses prises de position. Et c’était un homme libre.
BONHEUR DU JOUR (http://bonheurdujour.blogspirit.com)
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Cela m’a tellement attristée que je suis restée désespérément vide de toute idée pour écrire un hommage digne de ce nom. Il va manquer à la littérature.
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Oui vous avez raison et je suis triste de cette disparition. J’ai voulu aussi lui rendre hommage à ma façon sur mon blog.
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